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La première fois que j'ai découvert Gérard Depardieu motard, c'était le 23 juin, pendant la présentation de la nouvelle V-Max. A cette occasion, il avait d'ailleurs annoncé qu'il allait prochainement ouvrir une des plus importantes concessions d'Europe qui rassemblerait plus de cent motos. Gégé acteur, vigneron et maintenant vendeur de motos ?
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C'est qu'il n'est pas facile à joindre le Frank pour parler moto ! Mais entre deux séances de dédicaces de son dernier album, «Lucien toujours la banane», je vous emmène chez le célèbre dessinateur de BD et papa de Lucien, son sympathique rocker.
Pour une fois, ce n'est pas l'histoire de son héros qui m'intéresse, mais plutôt celle de Frank. Pas toujours évident d'ailleurs, car j'ai souvent du mal à faire la différence entre les deux personnages... Allez, Frank pour cette fois, tombe le casque et raconte-moi tes souvenirs de motard !
Gima, ça vous dit quelque chose ? Si cette marque de moto française n'a jamais eu la notoriété des japonaises, italiennes, allemandes ou britanniques, elle s'est tout de même taillée une jolie petite réputation à l'époque où furent produites ses petites 125 cm3, entre 1947 et 1954. L'une d'entre elles se paya même le luxe de remporter le Bol d'Or en 1949 dans sa catégorie. Il y a quelque temps, un type tenace et certainement doté d'un petit grain de folie, Hilario Gonzales, patron d'une PME de mécanique de précision située à Peschadoires, dans le Puy-de-Dôme, s'est mis en tête de redonner vie à la marque.
Et si le silence était le son du futur ? Zéro bruit, zéro pollution, tel est le crédo de Neal Saiki, fondateur il y a 18 ans de l'entreprise Zero Motorcycles, à Santa Cruz en Californie. Ancien chef de projet à la NASA, Neal a notamment mis au point une moto cross d'un nouveau genre, entièrement électrique ! 
La saison automnale est généralement propice aux manifestations de motos anciennes. A l'occasion du salon Moto Légende, tous les amateurs se donnent rendez-vous au Parc Floral de Vincennes. La manifestation rassemble aussi bien les collectionneurs de vieilles pétoires que ceux des machines sportives des années quatre-vingts. Les scooters des années cinquante présentés chaque année dans un thème différent rencontrent également un vif succès. Dans les allées, il n'est pas rare de croiser d'anciens champions venus partager avec le public leur passion de la moto. Coté clubs, l'ambiance qui règne sur les stands pendant la nocturne du vendredi soir y est plutôt sympathique.
Démarreur biométrique activé, je chuchote un code secret à l'intérieur de mon casque. L'action permet à ma GL 3.6 de 3600 cm3 bi-énergie de s'élancer. Une simple pression sur l'écran tactile de l'ordinateur dernière génération et la vitesse de ma machine se règle automatiquement sur les panneaux de limitations et d'informations situés le long des routes. Par ce système, je ne crains plus les excès de vitesse, ni les manoeuvres interdites.
«T'as l'ABS toi ?» «Non.» «Et toi ?» «Oui ,mais je m'en sers jamais !»
Drôle de dialogue entendu cette semaine dans une station-service. C'est vrai que l'ABS (un acronyme venu de nos voisins germains, signifiant «Antiblockiersystem», pardon, «système antibloquage») a cette particularité de passer totalement inaperçu tant qu'on ne rencontre pas de gros pépin. C'est même la grosse différence avec d'autres équipements comme les poignées chauffantes, les valises latérales ou encore la selle grand confort : son invisibilité.
Cela fait déjà cinq ans qu'ils veillent sur le bord de nos routes. Pour les uns, les radars fixes représentent une aubaine puisqu'ils auraient permis de sauver plus de 11 000 vies depuis octobre 2003, date de l'installation du tout premier exemplaire sur la commune de la Ville-du-Bois (Essonne) le long de la RN 20. Pour les autres, ces "boîtes à images" représentent une contrainte de plus à ne surtout pas perdre de vue, si l'on tient à son permis de conduire.
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